Potagers au balcon?

Aujourd'hui, j'habite dans un petit village. Je suis contente ici parce que l'air est très pur et je suis entourée d'agriculture. Dans le village c'est très facile d'avoir un grand potager ou un grand jardin où tu peux cultiver beaucoup de légumes pour manger, et c'est bien. 

Mais en ville c'est très difficile ça, parce que les immeubles n'ont pas de jardins, et les balcons sont très petits. En plus, il y a beaucoup de pollution, et ça peut être dangereux.
En revanche, si tu as un grand balcon et l'air de ta ville est pur, c'est une bonne option pour bien manger.

De magnifiques marrons des marronniers de Lucie

Publié par Lucía Rodríguez Brea

La agriculture dans la ville est quelque chose qui commence à se développer, mais a encore un long chemir à parcourir.

L'agriculture dans la ville peut être une bonne façon, pour beaucoup de gens, de manger des aliments sans les acheter au supermarché, car ils sont généralment plus artificiels. Cela peut être un avantage pour cultiver de légumes dans la ville, mais comme tout, ça a des inconvénients.
Et l'un d'eux est l'espace. Vous pouvez cultiver des légumes sur la terrase ou le balcon de votre maison, mais juste en petite quantité. Par contre, le rural est beaucoup mieux pour ça. Si tu as un lieu dans la campagne, tu pourras cultiver infinité de légumes là.

Regardez ces belles laitues de chez Lupe

Publié par Guadalupe Barreiro Valladares

J'habite dans un milieu rural et il y a beaucoup d'agriculture. Presque touts les voisins ont unpotager où ils cultivent les végétaux.

Avant, le travail d'agriculteur était plus dur parce que il n'y avait pas la technologie qu'il y amaintenant.

Personellement, je crois que la culture des légumes en ville est une option intéressante parceque les gens qui habitent en ville peuvent manger de la nourriture salutaire et ils dépensentmoins d'argent. Mais, le problème est qu'il n'y a pas beaucoup d'espace pour cultiver et il y aplus de pollution que dans le village.

Oh! La belle citrouille de chez Vanessa

Publié par Vanesa Diz Gil